Tu m’a pris contre toi,

Sans brûler mes ailes.

Ce voile qui m’aveuglait,

Tu me l’as arraché.

Maintenant mes yeux sont éveillés.

Je disais aimer le corps.

J’aimerais y croire encore.

J’aimais séduire et jouir.

Maintenant je veux seulement lire

Dans tes yeux le désir que je t’inspire.

J’aimais aimer

Sans savoir aimer.

Maintenant que tu m’as dit

Ce que ce mot dit

Tu sculptes mon plaisir et j’en jouis.

Quand tu me rejoins sur un lit,

Quand ma bouche crie

La joie que je  vis,

Quand l’extase jaillit

En moi , mon amour grandit.

Je nous ai aimés

Comme je me suis aimée.

Corps et esprit enfin réconciliés.

Je ne savais pas que tu existais,

Je sais ne plus pouvoir t’oublier.

Comme une sucrerie

Je viens déposer de mes lèvres de miel

Un baiser alangui

Que je veux de fiel.

Je t'offre mon corps,

Je t'offre mon coeur.

Carpe diem ,

Je ne veux plus etre la même.

Alors à tes cotes j'apprendrai l'Amour ,

Alors à tes cotes j'apprendrai chaque jour.

Il est dur d'etre loin de toi ,

Mais lorsque je te vois,

Mon coeur et mon corps sont encore plus en émoi.

Tout va bien , tout est bon .

Alors cette fois je te le dis pour de bon,

Je te le dis carrément,

Je t'aime tout simplement.

Enfourne toi en moi !

De ma gorge à ma grotte ,

Défonce-moi !

Dans des positions de toutes sortes .

Imagine toi me pénétrer ,

N'hésite pas à me baiser !

Tes mains s'insinuer,

Ta langue me lécher ...

Des mots vils ,

Tes coups de rein virils ,

Tu es si habile ,

Sur ma peau fragile .

L'extase atteinte ,

La folie des corps s'est éteinte,

Et dans une tendre étreinte,

Tu me laisses ton empreinte.

Me crois-tu lorsque je te dis que tu mets mon corps en emoi ?

Me crois-tu lorsque je te dis que mon coeur vibre pour toi ?

Me crois-tu lorsque je te dis que je n'ai envie que de toi ?

Me crois-tu lorsque je te dis que j'ai confiance en toi ?

Me crois-tu lorsque je te dis que je pense sans cesse a toi ?

Me crois-tu ?

A peine avais je quitter tes bras ,

Que j'avais envie de me lover en toi .

La chaleur  qui m'anime ,

Mon desir qui se dessine.

Au dela des plaisirs de la chair ,

Ma relation avec toi m'est chere .

Je sens une douce sensation qui s'immiscent ,

Je sens que mes sentiments grandissent.

Je suis fiere d'etre avec toi ,

Je me transforme  aupres de toi.

Ma langue gourmande

En redemande !

Tu bandes , tu bandes ...

Et moi , je suis en demande !!

Donne moi ma sucrerie !

Mon delice interdit ,

De ton phallus brandit ,

Arrive ma petite gaterie !!

Je la lape goulument ,

Je la deguste lentement,

Tu me la donnes genereusement ,

Tu jouis intensement.

Ta langue glissant sur le bout de mon sein,

Mon entre jambe coule en vain .

Alors ton sexe vient s'unir au mien .

Pendant que tu lapes encore mon sein ,

Arrive l'ondulement de mes reins ,

Et bientôt l'explosion vient !

Tu as eu raison de mon vagin ,

Il a joui dans un plaisir divin .

Oh oui ... Revient !!

Je sens ,

Je sens en moi grandir cette force,

Je sens en moi cette envie féroce.

Je sens pour toi une confiance sans limite.

Je sens pour toi un désir dynamite !

Je sens pour moi s'apaiser les tensions,

Je sens pour moi s'éloigner la passion.

Je sens en toi mon corps qui vibre,

Je sens en toi trouver mon equilibre.

Je sens pour moi une vie meilleure,

Je sens pour moi un besoin d'ailleurs.

Je sens en toi une confiance sincère ,

Je sens en toi un désir sévère.

Je sens que nous nous rapprochons,

Je sens que nous nous comprenons.

Je sens que nous nous apprécions.

Je sens que nous nous désirons.

Je me sens bien avec toi ... Voilà ! 

"Nul n'est parfait ...

J'aime mes erreurs, Je ne renoncerai pas à cette délicieuse liberté de commettre des erreurs.

Charlie Chaplin"

Liberté chérie

Quelle délicieuse sensation que celle d'etre libre,

Libre d'etre soi ,

Libre de ressentir ,

Libre d'aimer.

Je m'étais perdue dans cette liberté ,

Jusqu'à m'enchaîner , a me faire souffrir.

Les délices de la chair,

La liberté de les goûter,

Ont eu raison de moi.

Aujourd'hui je goûte a la véritable liberté,

Celle d'etre en accord avec moi même,

Celle de désirer une seule personne,

Celle de n'etre qu'a lui.

Toutes mes erreurs m'ont mené ici,

Je commettrai d'autres erreurs surement ,

Mais

J'aime mes erreurs, Je ne renoncerai pas à cette délicieuse liberté de commettre des erreurs.

... Nul n'est parfait .

Mon esprit vagabonde

Vers cette chambre sombre,

Ou reste l'empreinte

De nos premières étreintes.

Ce miroir au grand jour ,

Nous amènerait à l'amour ,

Et nous permettrait de pimenter

Nos ébats endiablés.

Ton phallus pénétré ,

Dans ma grotte écartée ,

Juqu'à la garde ,

Sans y prendre garde !

Le plaisir décuplé ,

De mon anus à tes bourses collé ,

Je vois tes doigts courir,

Sur mon bouton de plaisir .

Ainsi assemblés,

Nous jouissons à satiété,

Et du bonheur éprouvé,

Nous endormons ainsi lové.

Dans la torpeur du petit matin,

Ma main glisse le long de tes reins,

Pour arriver à ton appendice,

Sujet de tous mes délices.

Quelle joie de la trouver ainsi dressée ,

Prête à se faire dévorer .

Et c'est sans plus attendre ,

Que je la glisse dans ma bouche gourmande.

Dans un demi sommeil ,

Tes sens sont en éveil ,

Et tu sembles déguster ,

Cet instant de volupté.

En possession de tous tes moyens ,

Tu plonges alors au creux de mes reins ,

Afin d'atteindre l'impensable ,

Mon orgasme indiscutable !

Mais le matin a raison de mon envie ,

Et malheureusement je ne jouis .

Alors je viens à califourchon ,

Exciter mon petit bouton .

Mes va et vient ,

Mes coups de reins ,

Ont raison de ton désir ,

Et t'amène jusqu'au plaisir.

Nos corps unis ,

Tu as joui .

Ma récompense

Est ta semence.

Alors je m'endors contre toi ,

Heureuse de nos émois .

Nous nous enlaçons unis ,

Nous sommes enfin réunis.